Very good work. Congratulations…
Le Monde 12.05.10 / Jean-Pierre Langellier
Un homme insignifiant
Les Brésiliens le tiennent pour le plus grand homme qu'ait connu leur pays. Il ne doit sa renommée ni à la politique, ni à la chanson, ni au football. Chico Xavier (1910-2002) fut le plus stupéfiant médium du XXe siècle. Selon une enquête de popularité faite en 2006 par la revue Epoca, il arrive en tête, avec deux fois plus de suffrages que son suivant immédiat, l'as de la formule 1, Ayrton Senna, tué sur un circuit en 1994.
Chico Xavier vit le jour il y a cent ans. Cet anniversaire suscite une multitude d'hommages. Le film, qui porte son nom et retrace sa vie, du Brésilien Daneil Filho, a décroché le nouveau record du box-office, pour une production nationale. Quatre autres films suivront en 2010.
Enfant métis, trop pauvre pour faire des études, adulte au physique ingrat, accablé d'une cataracte chronique et d'une calvitie précoce qui l'obligent à porter des lunettes noires et une perruque, Chico Xavier est devenu une véritable idole, objet d'un culte populaire.
Grâce, bien sûr, à ses dons mystérieux qui l'ont promu apôtre du spiritisme brésilien. Mais aussi du fait de sa vie exemplaire jamais prise en défaut, celle d'un homme pur, honnête, désintéressé, travailleur inlassable et profondément altruiste. Beaucoup de ses compatriotes voient en lui des symptômes de sainteté.
Chico Xavier naît dans une famille de neuf enfants à Pedro Leopoldo, dans l'Etat du Minas Gerais. Sa mère est blanchisseuse, son père vend des billets de loterie. Tous deux sont analphabètes. A 4 ans, il entend des voix et "reçoit" ses premières apparitions. Il perd sa mère, et vit pendant deux ans avec une méchante "marraine" qui le maltraite, l'affuble d'une camisole et conclut qu'il a "le diable au corps".
Revenu chez son père remarié, il se lève la nuit, parle avec les fantômes, et, au matin, donne des nouvelles de parents défunts à son entourage incrédule. Il se console en priant devant la tombe de sa mère avec qui il a le premier d'innombrables dialogues. A 9 ans, il commence à travailler comme tisserand la nuit tout en continuant le jour à fréquenter l'école primaire.
A 12 ans, il écrit une rédaction parfaite, qui, confie-t-il à son institutrice, lui a été dictée par un "homme d'un autre monde". Cinq ans plus tard, il assiste à sa première expérience spirite en voyant guérir sa soeur atteinte d'un délire obsessionnel. Il s'initie à la doctrine spirite fondée par le Français Allan Kardec (1804-1869), dont il sera pendant soixante-quinze ans l'infatigable propagateur. Une nuit, il découvre la psychographie. Sous la dictée d'un esprit, il écrit dix-sept pages à toute vitesse, sans hésitation ni ratures. Il sait désormais qui il est : un médium, intercesseur entre deux mondes, porte-parole des esprits sur Terre, ambassadeur de l'au-delà.
En 1931, le jeune homme "voit" Emmanuel, son mentor spirituel, l'ami invisible qui le conseillera ou le rappellera à l'ordre toute sa vie. En 1932, il publie son premier ouvrage, Le Parnasse d'outre-tombe, un recueil de 59 poèmes de grande qualité attribués à 14 écrivains morts, qui provoque intérêt et surprise.
L'écriture est désormais sa compagne. De son cerveau en incessante éruption sortiront 451 livres, dont 39 édités après sa mort. Soit, à ce jour, 50 millions d'exemplaires vendus rien qu'au Brésil. Chico Xavier en refuse la paternité. A chacun de ces titres, il associe le nom de l'esprit qui a guidé sa main.
Il reverse l'intégralité des droits d'auteur aux centaines d'associations charitables qu'il parraine. Il vit de son maigre salaire d'employé du ministère de l'agriculture, fidèle aux principes monastiques - pauvreté, obéissance, chasteté - chers à l'Eglise catholique dont il s'est éloigné tout en affirmant rester "chrétien". Il pratique l'autodépréciation, se décrit comme un "moins que rien", un homme "d'une absolue insignifiance", "simple serviteur " de ses bienfaiteurs spirituels. L'inverse d'un visionnaire ou d'un prophète.
A partir des années 1960, il "reçoit" de plus en plus de "lettres" adressées par les esprits à leurs familles. Environ dix mille au total. Son autorité est telle que, en 1979, l'un de ces "messages personnels", versé au dossier d'une affaire criminelle, permet d'innocenter un jeune homme accusé d'avoir tué son meilleur ami. Le défunt avait affirmé au médium que sa mort était accidentelle.
En 1971, Chico Xavier est l'hôte d'une célèbre émission télévisée : le taux d'audience atteint ce soir-là n'a jamais été battu. En 1981, le Brésil se mobilise pour qu'il obtienne le prix Nobel de la paix. En vain. Sous l'égide du médium, le Brésil devient la patrie d'adoption du spiritisme, sa troisième religion : 20 millions de sympathisants, dont 2,3 millions de pratiquants.
Pendant des décennies, experts, médecins, journalistes, le plus souvent sceptiques, défilent à Pedro Leopoldo puis à Uberaba, où il vit depuis 1959, pour l'observer, l'écouter, ou tenter de démasquer son imposture supposée. Tous repartent troublés : perplexes, bouleversés, ou convertis. Tous s'accordent sur l'extrême humanité du personnage.
Chico Xavier vit ses dernières années en reclus. Ses disciples s'arrêtent devant sa porte pour capter les énergies positives. Il aimerait, dit-il à ses amis, rendre l'âme un jour de joie. Voeu exaucé : il meurt, ou plutôt "se désincarne", le 30 juin 2002, alors que le Brésil, en fête, célèbre son titre de champion du monde de football.
11. All religions have proclaimed the principle of the happiness or unhappiness of the soul after death, in other words, the principle of future rewards and punishments, summed up in the doctrinal idea of “Heaven” and “Hell”, which is common to them all. But those religions differ radically as to the nature of the rewards and punishments of the future, and especially as to the conditions upon which they depend. Hence have arisen contradictory beliefs, which have produced various forms of worship, and have led to the imposition of special practices by each of them as a method of honoring God, and thus of gaining admission to “Heaven” and
avoiding “Hell.”
12. All the religions of the world were necessarily, at their origin, in harmony with the degree of moral and intellectual advancement of the peoples among whom they took their rise, and who, —being still too deeply sunk in materiality to conceive of things purely spiritual—made the greater part of their religious duties to consist in the accomplishment of certain external forms. For a time, forms suffice to satisfy the mind; at a later period, when men acquire more light, they feel the emptiness of those forms, and, if the doctrines of their faith do not suffice to supply the void left by the collapse of its forms, they abandon their religion and become
philosophers.
13. If that primitive formula had always kept pace with the accessional movement of the human mind, the same harmony would always have existed between them, and there would have never been any unbelievers, because the need of believing is natural to the human heart, and men will believe if they are presented with religious ideas in harmony with they intellectual needs. Man would fain know whence he comes and whither he is going; but if that which is set before him as the object of life does not correspond either to his aspirations, to the idea that he has formed to himself of God, or to the data of physical science, —if, moreover, it is sought to impose on him, as necessary to the attainment of that object, conditions of which the utility is not perceived by his reason, —he naturally rejects the whole. Materialism and Pantheism appear to him more rational simply because they reason and discuss. Their reasoning is false, but, at all events, they reason; and he would rather reason falsely than not reason at all.
But let the doctrine of a future life be presented to him under an aspect that is, at once, satisfactory to his reason, and worthy, in all respects, of the greatness, the justice, and the infinite goodness of God, and he will renounce both Materialism and Pantheism, of which every man feels the hollowness in his secret soul, and which are only accepted for lack of something better; and, as Spiritism gives something very much better than those empty and comfortless theories, it is eagerly welcomed by all those who do not find, in the common beliefs and philosophies of the day, the certainty for which they long, and who are consequently undergoing the tortures of doubt. The Spiritist theory is confirmed both by argument and by facts; and it therefore furnishes the broad and solid basis of belief that no other theory is able to supply.
(Book: Heaven and hell – Allan Kardec).
Venho a público agradecer a participação de todos que estiveram envolvidos em nosso seminário sobre a mediunidade, realizado nas duas últimas quarta-feiras na Sociedade Espírita O Caminho, de São Leopoldo. Foram mais de 3 horas de atividade abordando assuntos como: William Crookes, Alfred Russel Wallace, Carl G. Jung, Wilder Penfield, Física Moderna, Rupert Sheldrake, John Eccles, Neurologia básica aplicada a sensibilidade mediúnica, estudo de caso, etc…
(Foto ilustrativa)
O sentimento ao final das atividades foi de satisfação, por ter podido contribuir e aprender em conjunto. Temos a certeza, entretanto, de que o tema não se esgotou e que outras oportunidades surgirão para continuarmos nossa tarefa de dividir experiências. O interesse dos presentes surpreendeu-me positivamente, atuando como fator motivacional, espero que todos os participantes tenham se sentido motivados para continuar sua própria busca pessoal e intransferível.
Obrigado,
Rafael
Publicado na Revista Delfos (abril/2010)
O Relato de Igor
Em atividades de intercâmbio mediúnico no Grupo de Estudos Espírita Irmão Áulus passei a vislumbrar rápidos “flashes” visuais. A primeira imagem foi um casal de jovens se despedindo na plataforma de uma estação ferroviária, comum acontecer que essas imagens tragam algum fragmento de sua história. Logo em seguida vi essa mesma jovem encolhida em um abrigo, onde acabou desencarnando soterrada junto de outra senhora. Em seguida percebi a situação do comunicante que me envolvia naquele instante, era um jovem alto, de uniforme militar pesado, que associei com vestimentas russas da segunda grande guerra mundial. Trazia no peito as marcas das balas que lhe ceifou a existência corporal.
Como as imagens eram desconexas levei certo tempo até conseguir compreender parcialmente do que se tratava. Era um espírito agitado que desejava relatar sua história. Queria que eu a contasse porque encontrou em mim essa possibilidade. Entretanto, me ficou bastante claro que não deveria aceitar escrever com o primeiro espírito que aparecesse. Narrar sua versão demandaria tempo e deveria me concentrar nas atividades que me filiava com supervisão dos amigos espirituais que me assessoram.
Esse soldado russo me forneceu seu nome, o nome de sua noiva, o local de onde vieram e os principais fatos que haviam se dado e que eu vislumbrara por imagens fugidias. Era como se me fornecessem um pacote de informações que iriam se organizando na medida em que fornecia tempo e tranqüilidade para que as peças se encaixassem. Igor, era como se dizia chamar, era bastante impositivo, insistia em relatar sua versão. Pude compreender que o teor de seu relato não traria uma mensagem bem composta no sentido de ser construtiva ao leitor. Na realidade ele reencontrara sua Elisa reencarnada e a assediava espiritualmente, dizia-se injustiçado por ter seus sonhos de amor roubados por Deus. Deduzi de início que não deveria atender a sua solicitação.
Duas noites mais tarde, enquanto dormia, sonhei com outra versão da história de Igor. Que trazia os mesmos personagens em uma existência anterior. Percebi que novamente ele desejava escrever e lhe informei que teria sua chance no devido momento e se houvesse anuência dos instrutores espirituais. Naquele momento comecei a compreender que haveria um aprendizado oportuno por detrás desse contato mediúnico. Senti que na atividade íntima de intercâmbio mediúnico, onde me coloco a disposição para escritos espontâneos, a situação teria seu desdobramento.
Igor estava presente, mas não pôde narrar o relato que desejava. Os orientadores espirituais o induziram a narrar eventos anteriores que ele desejava omitir. A partir de agora vou deixar-lhes com os desdobramentos dessa atividade curiosa:
Primeira parte do relato de Igor
Tudo começou na guerra da Criméia, havia estado fora por muito tempo, notícias desinformadas davam conta de que eu havia perecido em combate. Elisa desesperou-se, éramos muito jovens ainda. Porém, tudo não passara de tremendo equívoco. Estivera acamado por meses entre vida e a morte, mas minha juventude e o amor por Elisa me sustentaram.
Qual não foi minha dor ao ver Elisa com outro. Soube antes de retornar ao lar que havia ela contraído núpcias crendo-me perdido em definitivo. Achei por bem que não deveria importuná-la e optei por antes de qualquer apresentação conferir a veracidade do que houvera escutado.
Apesar de abatido estava disposto a aceitar a situação. O destino parecia conspirar contra nossa união. Quase enlouqueci de raiva quando descobri que ela houvera desposado um colega de farda, justo um amigo que sabia que eu estava ainda vivo. Procurei compreender o que poderia ter ocorrido para ocasionar essa situação, mas a idéia de uma traição tornava-se cada vez mais recorrente em meus pensamentos. Minha íra fugiu ao controle quando soube que fora justamente esse amigo que trouxera a notificação de meu passamento.
Sem refletir decidi dar cabo de sua existência. Queria minha vingança. A guerra não havia terminado e breve ele, assim como eu, deveríamos retornar ao fronte de batalha. Tentava imaginar como seria sua reação ao encontrar-me vivo em algum acampamento de campanha. Teria a dignidade de revelar-me seu ato de traição? Não sabia, porém estava pouco disposto a ouvir-lhe as desculpas. A idéia de que ele quisesse dar fim a minha vida sabendo-me ainda vivo passou a torturar-me. Nessa circunstância deveria agir o quanto antes e retomar o lugar que era meu por direito junto a Elisa.
Em noite funesta para minha alma adicionei um frasco inteiro de veneno ao cantil do traidor. Sem que soubesse que eu ainda estava vivo aguardei escondido para saber se o plano teria êxito. Ao redor de pequena fogueira alguns soldados conversavam banalidades enquanto embebedavam-se.
Profunda agonia assaltou-me quando percebi que todos os soldados ali presentes iriam dividir o mesmo líquido. Cogitei de me expor, confessar meu desatino e desistir da desforra. Só que as imagens de um traidor desfrutando do lugar que por direito deveria ser meu inflamava minha cólera. Ele merecia morrer. E os demais? Deveria sacrificar todos por minha vingança? Entre cogitações não percebi que já era tarde e que o veneno havia sido ingerido.
Atônito, deixei o arbusto de onde tudo vira para me aproximar. Ainda lembro da máscara da agonia que aqueles homens vestiam, seus estertores e olhos esbugalhados, expressando desespero intenso, sem saber o que lhes acontecia. Caíram todos juntos ao solo a espumar pela boca. Ceifara seis vidas, seis jovens que como eu deveria ter seus sonhos e que talvez possuíssem alguém que os esperasse o retorno.
Insano e sem poder fugir a imagem dos mortos em agonia atiçando meu remorso acabei por expor-me propositalmente a risco maior que o necessário, vindo a sucumbir no campo de batalhas engasgado em meu próprio sangue.
Palavras do orientador espiritual
Essa narrativa não fora cedida espontaneamente, a retiramos das lembranças de um desencarnado que atribuía sua desdita amorosa ao destino, praguejando contra Deus. Encontrando a jovem que lhe fora alvo de sua fixação apaixonada novamente reencarnada procurou junto dela se fixar. Passando assim a perturbar-lhe. Em tudo alegava ele os direitos que possuía, direito ao amor que lhe fora retirado bruscamente em sua última existência.
Existência que desejava narrar obstinadamente para demonstrar o quanto havia sido infelicitado pelo destino. Encontrando a possibilidade de escrever através da mediunidade almejava declarar aos quatro cantos toda a injustiça de que se dizia vítima. Com o objetivo de instrução foi permitido que ele desse sua versão dos fatos, o que aconteceu através de imagens desconexas.
Entretanto, não poderíamos deixar que ele agisse livremente em seus propósitos, por isso, revelamos o que escondia sua consciência. Demonstrando onde seu destino fora traçado, através da recordação dos atos que cometera em existência anterior. Agora ele terá a possibilidade de relatar o que desejava, sua abordagem se modificará substancialmente, pois conhecemos o triste episódio anterior que desaguou na existência que narrará. E não seremos colhidos de surpresa, sabendo de antemão que somos responsáveis por todos os nossos atos e deles prestaremos a devida conta.
Segunda parte do relato
Ao contrário dos primeiros contatos, Igor se mostrou arredio, insatisfeito e bastante confuso. Foi possível compreender que a confissão de seus desatinos anteriores causou nele forte impressão. Não mais desejava escrever, sequer desejava estar presente, porém a angústia deixava claro que havia algo diferente, talvez estivesse sendo abordado pelo sentimento de culpa.
Cabe a cada um de nós aproveitarmos a lição espontânea e rogar pela melhora dos personagens envolvidos nos relatos. Também por isso ao iniciarmos a atividade da noite acabamos aleatoriamente lendo uma mensagem quanto ao perdão aos criminosos. Fica o questionamento, podemos julgar se todos trazemos máculas em nosso passado?
O relato de Igor
Se antes desejava me utilizar da palavra para externar minha revolta, hoje, acanhado é que me valho da escrita para narrar o que vivi. A realidade é que não mais desejava aqui retornar, porém, vontade superior a minha assim me induz fazendo com que termine o que comecei.
Ainda lembro, como se fosse hoje, do dia em que os belos olhos claros de Elisa encontraram nos meus o calor de uma admiração apaixonada pela última vez. Foi na fatídica manhã em que a deixei na estação ferroviária, ela iria estudar em Paris. Quisera eu poder ter adivinhado que a guerra estouraria logo depois, dificultando qualquer contato.
A notícia de que a França havia sido invadida me causava intenso temor. As narrativas das crueldades cometidas pelas tropas alemãs me desesperavam. E eu sem notícia alguma. Passei a temer pela vida de Elisa.
Quando tomamos parte na luta armada, não hesitei, fui dos primeiros a me apresentar, na ânsia de alcançar Paris e saber notícias do paradeiro de Elisa. Sem sair dos meus pensamentos o tempo foi passando, a guerra, diziam, estava perto do fim. Estávamos próximos de invadir Berlim. Entretanto, muito tempo passara sem que notícia alguma obtivesse. Foi na Alemanha que tombei, com meu peito varado por balas. Não mais encontrei quem buscava, entretanto, minha busca não terminou. Segui procurando, até reencontrá-la mudada, vivendo no Brasil.
Conclusão do orientador espiritual
Elisa havia perecido no desabamento de um prédio bombardeado quando do princípio da guerra. Sequer se encontrava em Paris. Desencarnara soterrada e logo dera continuidade a sua existência espiritual. Em melhores condições de entendimento compreendera a inutilidade de buscar Igor, evitando assim criar uma vinculação de angústia e aflições.
Muito em breve ela o receberá como filho, buscando sublimar o vínculo que os relaciona. Na figura de mãe dedicada acabará por conquistar o respeito e a admiração de Igor. A complexidade dos sentimentos em que nos envolvemos acaba por nos colocar sem condições de discernimento. A confissão dos erros do passado, mesmo que sem a espontaneidade que se desejaria, permitirá uma trégua nas relações conturbadas e intensas desses dois espíritos. Ofertando uma perspectiva melhor para o futuro.
Rafael de Figueiredo
Bom dia, caros leitores.
Devido a uma sugestão espiritual, estamos abrindo a possibilidade de publicar textos que nos sejam enviados por email. Se você possuir algum texto que queira compartilhar com os leitores do nosso blog basta enviá-lo para o email (nasbrumasdamente@gmail.com) para avaliação. Lembramos que os textos devem se encaixar em assuntos na Doutrina Espírita e no perfil dos demais textos do nosso blog, evitando sensacionalismos e excentricidades. Aceitaremos textos em Português, Espanhol, Inglês e Francês.
A idéia é tornar esse espaço mais democrático e permitir que espíritas de diferentes lugares compartilhem suas experiências e notícias do movimento espírita. Portanto, sejam bem-vindos.
Atenciosamente,
Rafael.