sábado, 24 de abril de 2010

HEAVEN AND HELL (4) – ALLAN KARDEC

8. This system is open to a variety of objections, of which the principal are the following: —It being impossible to conceive of the Divinity without the infinitude of His perfections, how can a Perfect Whole be formed of parts so imperfect as we see them to be, and having so great a need of progression? These parts being subjected to the law of progress, it follows that God Himself must progress incessantly; and, if He has been progressing from all eternity, it also follows that He must formerly have been very imperfect. But how is it
possible that an imperfect being, made up of wills and ideas so widely divergent from one another, should have been able to conceive the harmonious laws, so admirable in their unity, wisdom, and forethought, that govern the universe? If all souls are portions of the Divinity, all of them must have concurred in establishing the laws of nature; how comes it, then that they are perpetually murmuring against those laws that which, according to this doctrine, are of their own inventing? No theory can be accepted as true unless it can both satisfy our reason and furnish a rational explanation of all the facts with which it deals; if it is belied by a single one of those facts, it
cannot be true.
9. Examined from the point of view of its moral consequences, Pantheism is seen to be as unsatisfactory as it is intellectually absurd. In the first place, the destiny of each soul, according to this system, is, as in the system previously examined, its absorption in a general Whole, with the consequent loss of its individuality. If, on the contrary, it were admitted, according to the opinion of certain pantheists, that souls preserve their individuality, God can have no unitary will, but is an amalgam of myriads of divergent individualities. Besides, each soul being an integral part of the Divinity, no soul is subjected to the sway of any power superior to itself; consequently, no soul incurs any responsibility for its action, whether good or bad, no soul has any motive for doing right, and each soul is free to do all the wrong it pleases, with perfect impunity, seeing that each soul is the sovereign ruler of the universe.
10. The theories we have been examining not only fail to satisfy either the reason or the aspirations of mankind, but they present to the mind a succession of insurmountable difficulties, of questions in regard to matters of fact, which they are utterly incapable of answering. We have to choose between three theoretic alternatives: Annihilation, Absorption, and The individuality of the soul before and after death. It is to this last belief that we are led by reason; and it is this belief that has constituted the basis of all religions in all the ages of the world.
If reason leads us to the conviction of the persistence of the soul’s individuality, it also leads us to the admission of the consequence of that persistence, viz., that the fate of each soul must depend on its own personal qualities; for it would be irrational to assume that the backward soul of the savage and the evil-minded are at the same level as that of the scientific and the benevolent. Justice demands that each soul should be responsible for its own action; but, in order for souls to be thus responsible, they must be free to choose between good and evil.
Unless we admit the freedom of the will, we must necessarily assume the existence of fatality; and responsibility cannot co-exist with fatality.

(Book: Heaven and hell – Allan Kardec).

sexta-feira, 16 de abril de 2010

MA CHERIE STELLA

Parmi les assistants aux séances que Home donna à Florence, en 1874, se trouvait la comtesse Panigai, qui en a rédigé un rapport, duquel j'extrais les faits suivants :
« J'ai eu la bonne fortune d'assister, le 7 juillet 1874, à une séance donnée par M. Home. Sa réputation n'est plus à faire ; il compte de trop nombreux amis dont le témoignage, en raison de leur position sociale ne saurait être suspecté, et qui apprécient assez le caractère et la parfaite honorabilité de ce médium, pour que je puisse me dispenser de le dépeindre ici.
A huit heures du soir, nous prenions place autour d'une grande table au centre du salon où logeait M. Home. Etaient présents : la marquise Bartolomei Passerini, Mme Webster, le chevalier Soffietti,
M. Monnier, M. et Mme Home et moi. Outre deux bougies placées sur notre table, il y avait une lampe à pétrole sur une petite table carrée, dans un des angles de la salle, qui était ainsi très bien éclairée.
« Mme Passerini et moi étions à côté de M. Home, elle à sa droite, moi à sa gauche. À peine étionsnous assis - le médium n'avait pas même pris sa place - que nous remarquions déjà un léger frémissement de la table. Des coups, dont quelques-uns assez violents, s'y firent entendre. Il en partait aussi de tous les points de la chambre, du parquet et même de nos chaises. Puis cinq coups faibles, mais bien nets, furent frappés directement sous mes mains. M. Home nous dit que ces coups étaient le signal demandant l'alphabet et il se mit à l'épeler, tandis qu'une autre personne inscrivait les lettres dictées. Quel ne fut pas mon étonnement en voyant que le nom indiqué était celui de ma Stella ! J'étais entièrement inconnue de M. et Mme Home qui, n'étant à Florence que depuis peu de jours, avaient entendu pour la première fois mon nom une heure ou deux auparavant, lorsqu'un ami avait demandé la permission de m'introduire à cette séance. Et c'est un nom chéri qui m'est communiqué de cette étrange manière - le nom d'une fille tendrement aimée, que j'avais perdue après quelques jours de cruelles souffrances à l'âge de cinq ans et dix mois. Dès lors, les années s'étaient écoulées et rien dans ma toilette n'indiquait l'épreuve par laquelle j'avais passé. Je demandai à mon enfant - si c'était elle - de me dire à quel âge elle était morte et ma question obtint une réponse parfaitement exacte.
« Les raps continuant, l'alphabet dicta un nouveau message, qui disait : « Ne pleure pas, chère maman. » Sentant alors mon genou touché comme par une main d'enfant, j'y plaçai instinctivement la main. Une petite main s'empara de la mienne ; elle correspondait si bien à celle de l'enfant que j'avais perdue, que j'eus la certitude d'avoir réellement auprès de moi ma petite chérie. Pourquoi les coeurs de toutes les mères qui ont été frappées comme moi ne peuvent-ils ressentir le rayon de bonheur que j'éprouvai alors ? Je n'avais pas été prévenue d'un tel attouchement et ne m'y attendais nullement ; je n'étais donc pas le jouet de mon imagination surexcitée. »
« Quoique le nom de M. Home ne me fût pas inconnu auparavant, j'ignorais les conditions de ses séances et croyais qu'elles avaient lieu dans une profonde obscurité, ainsi qu'il en est souvent avec les médiums. J'avais donc été agréablement surprise de me trouver dans une salle bien éclairée, où je pouvais faire, tout à mon aise, usage de mes yeux...
« Un accordéon, qui n'appartenait pas M. Home, avait été apporté par un des Sitters, - était sur la table. M. Home n'engagea à le prendre d'une main, pour voir si les esprits pourraient en jouer. A peine l'avais-je pris qu'il préluda, puis joua un air militaire, personne autre que moi ne le touchant. »
« L'alphabet ayant été demandé de nouveau, il nous fut dicté une communication dans laquelle il était question d'un incident qui n'était connu que de mes plus proches parents et dont aucune des personnes présentes avec moi à cette séance ne pouvait rien savoir. Au moment où je venais d'obtenir ce message, mes yeux se fixèrent sur une rose que portait Mme Passerini. « Si vous êtes réellement l'esprit que vous prétendez être, » dis-je mentalement, « veuillez prendre cette rose sur Henriette et me la donner. » À peine cette pensée avait-elle surgi dans mon cerveau, qu'une main d'homme, grande et nerveuse, visible de tous les assistants, vint détacher la rose et la mettre dans ma main. C'est dans une salle très bien éclairée, alors que les mains des sitters sont toutes sur la table, que nous voyons une main humaine parfaitement conformée planer en l'air, en face de nous ; cette main était douée d'intelligence, puisqu'elle obéissait à une demande exprimée mentalement. En détachant la rose de la dentelle à laquelle elle tenait et en la transportant à une distance de deux ou trois pieds, elle témoignait aussi de sa force physique. Le fait, j'en conviens, est fort étrange, mais je déclare solennellement qu'il est absolument vrai. »
« Ces êtres, en présence desquels nous nous trouvions, pouvaient non seulement lire dans nos pensées, mais, en outre, ils nous parlaient parfois d'incidents sortis de notre mémoire. En voici un exemple : M. Home tombe en trance et dit au chevalier Soffietti : « Je vois près de vous une vieille bonne, une négresse. » Le chevalier ne se souvient pas de cette femme. Elle dit que vous ne devez pas l'avoir oubliée, » poursuit-il « car elle vous a sauvé la vie, quand vous n’aviez que trois ans et demi. Etant tombé dans une rivière près d'un moulin, vous alliez passer sous la roue lorsqu'elle vous a retiré. » Le chevalier qui, trois heures auparavant, était absolument inconnu de M. Home, se souvint alors de la circonstance et en confirma l'exactitude ; aucun des assistants n'en avait jamais entendu parler. »
La comtesse Panigai cite ensuite un message personnel qu'elle a reçu, qui lui a apporté une singulière preuve de la persistance de la vie au delà de la tombe.
« Après la communication faite au chevalier Soffietti, M. Home s'adresse à moi et m'assure que Stella est présente ; il me dit ensuite des choses qui, quelque valeur qu'elles eussent pour moi, ne seraient pas comprises par d'autres ; il est donc inutile de les rapporter.
« Mais l'intérêt du message se trouve surtout dans ce qu'il dit en terminant :
« Je sais, maman, que tu as soigné ma dernière paire de bottines et qu'elle se trouve avec ma petite robe blanche dans un coffret que tu as fait faire tout exprès... Je veux te donner une preuve positive de ma présence ; tu l'auras, demain. N'ouvre pas l'armoire où se trouve le coffret qui contient tes trésors - comme tu les appelles - avant d'avoir entendu des coups frappés distinctement sur le bureau. »
« Personne, même dans ma famille, ne connaissait l'existence de ce coffret et des reliques que j'y conservais.
« Je rentrai chez moi tout heureuse, quoique bien impatiente de savoir quel genre de preuve d'identité allait m'être donné. De bonne heure, le matin, j'écrivis à une amie intime, la priant de venir chez moi le plus tôt possible. Lorsqu'elle fut là, je me mis à lui raconter tout ce que j'avais vu et entendu de merveilleux le jour précédent. J'en étais à peine à la moitié de mon récit, que mon amie me dit, en me montrant le bureau : « N'entendez-vous pas des coups frappés sur ce meuble ? » A l'instant même ils se répétèrent. « C'est le signal, » m'écriai-je, « et c'est ici que je tiens le coffret. »
Je cours à mon cabinet de toilette où se trouve la clef de tiroir du bureau contenant mon trésor et j'en sors le coffret qui était aussi fermé. D'une main tremblante, je tourne la seconde clef et soulève le
couvercle. Les petites bottines sont là, - des bottines d'été claires, - l'élastique de soie blanche en haut. Sur un de ces élastiques se trouve une étoile admirablement imprimée, avec un oeil au centre de l'étoile. L'empreinte est faite d'une substance noire ; elle a dès lors un peu passé, tout en restant encore bien marquée. Ce dessin est d'une précision si mathématique qu'il faut une main habile pour le reproduire exactement. A chacune des six extrémités se trouve une lettre, dont la réunion forme le nom de ma chérie (Stella).
« Je fis atteler immédiatement et me rendis chez M. Home. Je dois dire, en passant, qu'il n'avait jamais mis les pieds chez moi et qu'au moment où je rédige ce rapport, - d'après mes notes prises deux ans auparavant , à l'époque même où ces faits se passaient, - il n'a peut-être jamais vu ma maison.
« Pendant que je lui montrais mon petit trésor - doublement cher maintenant - de nouvelles manifestations se produisirent. Je m'attendais naturellement à ce qu'elles émaneraient de celle qui venait de me donner une preuve si évidente de son existence et de son affection. Au lieu de cela, je reçus une singulière ordonnance médicale, qui me prescrivait un traitement pour mes yeux. Je me faisais soigner à cette époque pour une inflammation des paupières, dont je souffrais depuis longtemps ; j'essayai du remède qui m'était ordonné d'une manière si étrange et eus lieu de m’en féliciter, car j’obtins au bout de peu de jours une amélioration, que de fréquentes consultations chez des oculistes renommés n'avaient pas pu me procurer. »
« Si je proclame ces faits, c'est uniquement dans la conviction qu'il est de mon devoir de le faire. Ils répondront, j'espère, à la question si souvent posée : Cui bono ? La visite de ma petite chérie m'a fait entrevoir un rayon de la gloire du royaume où il n'y a plus ni séparation, ni chagrin, où toute larme est essuyée et où la lumière vient de Dieu seul. Je n'ai pas la croyance, j'ai la certitude.

Livre: Le Médium D. D. Home – sa vie et son caractere, par Louis Gardy.

quarta-feira, 14 de abril de 2010

MEDIUNIDADE RESPONSÁVEL

Sutilmente vai-se popularizando uma forma lamentável de revelação mediúnica, valorizando as questões perturbadoras que devem receber tratamento especial, ao invés de divulgação popularesca de caráter apocalíptico.
          Existe um atavismo no comportamento humano em torno do Deus temor que Jesus desmistificou, demonstrando que o Pai é todo Amor, e que o Espiritismo confirma através das suas excelentes propostas filosóficas e ético-morais, o qual deve ser examinado com imparcialidade.
          Doutrina fundamentada em fatos, estudada pela razão e lógica, não admite em suas formulações esclarecedoras quaisquer tipos de superstições, que lhe tisnariam a limpidez dos conteúdos relevantes, muito menos ameaças que a imponham pelo temor, como é habitual em outros segmentos religiosos.
          Durante alguns milênios o medo fez parte da divulgação do Bem, impondo vinganças celestes e desgraças a todos aqueles que discrepassem dos seus postulados, castrando a liberdade de pensamento e submetendo ao tacão da ignorância e do primitivismo cultural as mentes mais lúcidas e avançadas...
          O Espiritismo é ciência que investiga e somente considera aquilo que pode ser confirmado em laboratório, que tenha caráter de revelação universal, portanto, sempre livre para a aceitação ou não por aqueles que buscam conhecer-lhe os ensinamentos. Igualmente é filosofia que esclarece e jamais apavora, explicando, através da Lei de Causa e Efeito, quem somos, de onde viemos, para onde vamos, porque sofremos, quais são as razões das penas e das amarguras humanas... De igual maneira, a sua ética-moral é totalmente fundamentada nos ensinamentos de Jesus, conforme Ele os enunciou e os viveu, proporcionando a religiosidade que integra a criatura na ternura do seu Criador, sendo de simples e fácil formulação.
        Jamais se utiliza das tradições míticas greco-romanas, quais as das Parcas, sempre tecendo tragédias para os seres humanos, ou de outras quaisquer remanescentes das religiões ortodoxas decadentes, algumas das quais hoje estão reformuladas na apresentação, mantendo, porém, os mesmos conteúdos ameaçadores. De maneira sistemática e contínua, vêm-se tornando comuns algumas pseudorrevelações alarmantes, substituindo as figuras mitológicas de Satanás, do Diabo, do Inferno, do Purgatório, por Dragões, Organizações demoníacas, regiões punitivas atemorizantes, em detrimento do amor e da misericórdia de Deus que vigem em toda parte.
         Certamente existem personificações do Mal além das fronteiras físicas, que se comprazem em afligir as criaturas descuidadas, assim como lugares de purificação depois das fronteiras de cinza do corpo somático, todos, no entanto, transitórios, como ensaios para a aprendizagem do Bem e sua fixação nos painéis da mente e do comportamento.
         O Espiritismo ressuscita a esperança e amplia os horizontes do conhecimento exatamente para facultar ao ser humano o entendimento a respeito da vida e de como comportar-se dignamente ante as situações dolorosas. As suas revelações objetivam esclarecer as mentes, retirando a névoa da ignorância que ainda permanece impedindo o discernimento de muitas pessoas em torno dos objetivos essenciais da existência carnal.
          Da mesma forma como não se deve enganar os candidatos ao estudo espírita, a respeito das regiões celestes que os aguardam, desbordando em fantasias infantis, não é correto derrapar nas ameaças em torno de fetiches, magias e soluções miraculosas para os problemas humanos, recorrendo-se ao animismo africanista, de diversos povos e às suas superstições. No passado, em pleno período medieval, as crenças em torno dos fenômenos mediúnicos revestiam-se de místicas e de cerimônias cabalísticas, propondo a libertação dos incautos e perversos das situações perniciosas em que transitavam.
          O Espiritismo, iluminando as trevas que permanecem dominando incontáveis mentes, desvela o futuro que a todos aguarda, rico de bênçãos e de oportunidades de crescimento intelecto-moral, oferecendo os instrumentos hábeis para o êxito em todos os cometimentos.
          A sua psicologia é fértil de lições libertadoras dos conflitos que remanescem das existências passadas, de terapêuticas especiais para o enfrentamento com os adversários espirituais que procedem do ontem perturbador, de recursos simples e de fácil aplicação.
          A simples mudança mental para melhor proporciona ao indivíduo a conquista do equilíbrio perdido, facultando-lhe a adoção de comportamentos saudáveis que se encontram exarados em O Evangelho segundo o Espiritismo, de Allan Kardec, verdadeiro tratado de eficiente psicoterapia ao alcance de todos que se interessem pela conquista da saúde integral e da alegria de viver.
          Após a façanha de haver matado a morte, o conhecimento do Espiritismo faculta a perfeita integração da criatura com a sociedade, vivendo de maneira harmônica em todo momento, onde quer que se encontre, liberada de receios injustificáveis e sintonizada com as bênçãos que defluem da misericórdia divina.
          A mediunidade, desse modo, a serviço de Jesus, é veículo de luz, de seriedade, dignificando o seu instrumento e enriquecendo de esperança e de felicidade todos aqueles que se lhe acercam.
          Jamais a mediunidade séria estará a serviço dos Espíritos zombeteiros, levianos, críticos contumazes de tudo e de todos que não anuem com as suas informações vulgares, devendo tornar-se instrumento de conforto moral e de instrução grave, trabalhando a construção de mulheres e de homens sérios que se fascinem com o Espiritismo e tornem as suas existências úteis e enobrecidas.
          Esses Espíritos burlões e pseudossábios devem ser esclarecidos e orientados à mudança de comportamento, depois de demonstrado que não lhes obedecemos, nem lhes aceitamos as sugestões doentias, mentirosas e apavorantes com as histórias infantis sobre as catástrofes que sempre existiram, com as informações sobre o fim do mundo, com as tramas intérminas a que se entregam para seduzir e conduzir os ingênuos que se lhes submetem facilmente...
          O conhecimento real do Espiritismo é o antídoto para essa onda de revelações atemorizantes, que se espalha como um bafio pestilencial, tentando mesclar-se aos paradigmas espíritas que demonstraram desde o seu surgimento a legitimidade de que são portadores, confirmando o Consolador que Jesus prometeu aos seus discípulos e se materializou na incomparável Doutrina.
          Ante informações mediúnicas desastrosas ou sublimes, um método eficaz existe para a avaliação correta em torno da sua legitimidade, que é a universalidade do ensino, conforme estabeleceu o preclaro Codificador.
          Desse modo, utilizando-se da caridade como guia, da oração como instrumento de iluminação e do conhecimento como recurso de libertação, os adeptos sinceros do Espiritismo não se devem deixar influenciar pelo moderno terrorismo de natureza mediúnica, encarregado de amedrontar, quando o objetivo máximo da Doutrina é libertar os seus adeptos, a fim de os tornar felizes.

Vianna de Carvalho

(Página psicografada pelo médium Divaldo Pereira Franco, no dia 7 de dezembro de 2009, durante o período de realização do XVII Congresso Espírita Nacional, em Calpe, Espanha.)

terça-feira, 6 de abril de 2010

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segunda-feira, 5 de abril de 2010

CHICO XAVIER É SUCESSO DE BILHETERIA

Fonte: Último segundo (portal IG).

O filme "Chico Xavier" bateu o recorde de bilheteria em um final de semana da história recente do cinema brasileiro. O longa foi visto por cerca de 590 mil pessoas entre sexta-feira e domingo, ultrapassando os números registrados por "Se Eu Fosse Você 2", que tinha 570 mil espectadores no período. O filme estreou na última sexta, data em que o médium morto em 2002 completaria 100 anos.

"Ninguém trabalha esperando uma quebra de recorde. Estávamos confiantes num resultado positivo, mas algo desse tamanho foi uma surpresa", explica Bruno Wainer, da Downtown Filmes, distribuidora do longa. Ele ainda não arrisca, no entanto, nenhum prognóstico sobre a bilheteria total do filme. "Podemos fazer uma projeção a partir da segunda ou da terceira semana. Vamos esperar também pela primeira quarta-feira em cartaz, dia em que os ingressos são mais baratos na maior parte das cidades", diz.

Segundo ele, um dos fatores determinantes para o sucesso do filme é a propaganda boca a boca. E as primeiras informações nesse sentido, revela, são positivos. "Temos vários relatos de aplausos ao final de sessões. Os depoimentos que recebemos através do site oficial do filme também são bem animadores", afirma. "Chico Xavier" teve um lançamento de grandes proporções: 340 cópias em 377 telas. O orçamento foi de R$ 12 milhões.

"Chico Xavier" acompanha a vida do médium desde a infância em Pedro Leopoldo, na região metropolitana de Belo Horizonte, até a idade adulta (quando é vivido por Ângelo Antônio) e velhice (interpretado por Nelson Xavier). O roteiro, de Marcos Bernstein, foi baseado no livro "As Vidas de Chico Xavier", do jornalista Marcel Souto Maior. Publicado em 1994, é a mais completa biografia do médium mineiro.

A LAMENTÁVEL FALTA DE COMPREENSÃO QUE AINDA PERSISTE:

Prova de que os conflitos com a igreja que o médium teve ao longo de sua trajetória não acabaram, a produção foi impedida de filmar dentro de um templo no interior de Minas Gerais, onde ele nasceu. “As portas da igreja estão fechadas para Chico Xavier”, teria dito um sacerdote à equipe, segundo lembrou o diretor. A solução foi construir o cenário em estúdio.

domingo, 4 de abril de 2010

CHICO XAVIER NOS CINEMAS

Uma sensação de paz me invadia, eu olhava ao redor e o silêncio reinava. Podia ver nas feições pessoais que esse silêncio não era constragedor, era como se algo nos tocasse mais fundo, nos fizesse refletir. O filme sobre a biografia do médium Francisco Cândido Xavier atingiu o êxito esperado, sai pensando assim da sala de cinema.

A vida de Chico Xavier é um exemplo de solidariedade e entrega total ao bem do próximo, esquecimento de si próprio. Fico tentado a brincar que Chico Xavier conseguiu transformar as salas de cinema em centros espíritas, mas essa afirmação poderia dar margem a uma interpretação obtusa. Pois, o Espiritismo não segrega, não importa a forma de crer. O filme irá secar algumas lágrimas doloridas e fará verter tantas outras.

Fica a sugestão. Assistam! Prestigiem o cinema brasileiro para incentivar produções de qualidade. Porque mais do que qualidade técnica estamos nos referindo a um filme que nos faz se sentir bem.

Parabéns Chico, e, muito obrigado.

quinta-feira, 1 de abril de 2010

CINEMA

Amanhã estréia nos cinemas o filme biográfico sobre o médium brasileiro Francisco Cândido Xavier (Chico Xavier), filme que promete ser sucesso de público e agradar por sua imparcialidade.